2 septembre 2024
Vérification des faits: les manières « extraordinaires » de pierre poilievre pour trahir les travailleuses et travailleurs
À l'occasion de la fête du Travail, le chef conservateur Pierre Poilievre prétend faire l'éloge des travailleuses et travailleurs « extraordinaires ». Dans les faits, ce qui est extraordinaire, ce sont les moyens qu'il utilise pour trahir les travailleuses et travailleurs.
- Pierre Poilievre a gardé les travailleuses et travailleurs dans la pauvreté en votant contre le salaire minimum - DEUX FOIS.
- Lorsqu’il était ministre, Pierre Poilievre a obligé les travailleuses et travailleurs à travailler plus longtemps pour obtenir leur pension en faisant passer l'âge de la retraite de 65 à 67 ans, alors qu'il avait droit à une pension gouvernementale à six chiffres à l'âge de 31 ans.
- Il a déclaré la guerre aux syndicats en annonçant qu'il était le « premier homme politique fédéral à s'efforcer de faire adopter des lois sur le droit au travail au Canada ».
- Il a dépensé 10 milliards de dollars par an pour confier le travail des services publics à des sous-traitants lorsqu'il était au gouvernement.
- Il a attaqué les travailleurs et les syndicats en votant HUIT fois en faveur d'une loi de retour au travail.
« Pierre Poilievre a consacré sa carrière politique à attaquer les travailleuses et travailleurs afin que les grands patrons puissent s'approprier une plus grande part du gâteau. Chaque fois qu'il en a eu l'occasion, il a piétiné les droits des travailleuses et travailleurs. Il est même resté muet pendant le lock-out ferroviaire parce que son ancien directeur de campagne, John Baird, siège au conseil d'administration du CPKC, a déclaré Matthew Green (Hamilton-Centre), porte-parole du NPD en matière de Travail.
M. Poilievre peut emprunter un casque de sécurité pour se déguiser devant la caméra, mais il n'a jamais passé une seule seconde à se tenir aux côtés des travailleuses et travailleurs. S'il en a l'occasion, il coupera dans le vif et poignardera rapidement dans le dos, laissant les travailleuses et travailleurs encore plus derrière. »