Lorsque les grandes entreprises font faillite, les riches et haut placés ne devraient pas avoir le droit de s’enrichir et de laisser le personnel ramasser les pots cassés. Ajoutez votre nom et aidez-nous à mettre fin à cette pratique honteuse une fois pour toutes.

Quand les milliardaires sont aux commandes, les profits passent toujours en premier, jamais les gens.

Au beau milieu d’une faillite, les patrons de la Compagnie de la Baie d’Hudson se sont fait prendre à encaisser des primes de six chiffres pour eux et quelques riches. Pendant ce temps, plus de 9 300 membres du personnel qui ont été licenciés ont appris qu’ils ne recevraient pas leur indemnité de départ.

À maintes reprises, les personnes riches et haut placées choisissent de s’aider elles-mêmes au lieu d’aider le personnel dévoué, qui est le vrai cœur battant de ces entreprises.

Les grandes entreprises américaines soutenues par des milliardaires ne devraient pas avoir le droit d’exploiter de manière si égoïste les travailleuses et travailleurs qui peinent déjà à joindre les deux bouts.

Mark Carney n’arrangera rien. Il a fait des millions chez Brookfield en acceptant des primes d’une entreprise qui s’est construite en transformant le stress économique en opportunité pour les investisseurs, et ce, aux dépens de la classe moyenne.

Poilievre empirerait la situation. Il donnera plus de pouvoir aux cadres des entreprises qui ont financé ses campagnes en leur vendant nos transports en commun publics, notre système de santé et d’autres services publics sur lesquels la population compte.

Les néo-démocrates ont un plan pour rectifier les lois sur l’insolvabilité et s’assurer que monsieur et madame Tout-le-Monde qui travaillent pour des entreprises comme la Baie d’Hudson reçoivent l’indemnité de départ et la pension auxquelles ils ont droit si l’entreprise fait faillite.

Ajoutez votre nom si vous croyez que nous avons besoin d’un gouvernement qui se bat pour vous, pas pour les entreprises et les millionnaires.